Blake O'Hara # Such a Nerd

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BLAKE O'HARA

17 ans ㄨ 30 Juin 1995 ㄨ Cameron Mitchell ㄨ célibataire ㄨ Hétérosexuel (?)

“ DESCRIPTION MENTALE.

Banal. Blake est un garçon comme un autre, il n’est pas de ceux qui ont un trait de caractère dominant, n’est pas non plus l’heureux propriétaire de cette « petite chose en plus » qui aurait pu faire qu’on les remarque au premier coup d’œil. C’est un garçon qui se fond dans la masse et qui ne se soucie pas réellement d’être de ceux qu’on dit populaire, d’ailleurs, sans pour autant mépriser ouvertement ces gens-là, Blake les évite, sa devise étant "Don't believe the hype", traduisez par la "Ne pas croire les starlettes, du lycée et de l'extérieur, devant qui tout le monde ira se prosterner". Il souhaite cependant entretenir de bons rapports avec les autres et cherchera toujours à se qu’on est une bonne image de lui. En effet il déteste entrer en conflit, étant un piètre orateur, sa repartie laisse à désirer si bien qu’il essaye de sauver les situations par l’humour mais ne brille pas toujours dans cet exercice.

En tous les cas, on pense qu’il est un garçon bien propre, polie et courtois, par conséquent n’a jamais vraiment eu d’ennuis. Du genre à s’excuser de ses défauts avant qu’on ne les ait repéré, Blake est donc un ‘gentil’ qui manque un peu de consistance, mais qui n’est pas non plus un mollasson de première ni une bonne poire. Il a beau être un tantinet naïf, il est assez intelligent pour discerner qui se moque de lui, qui le méprise, et ceux en qui il peut compter. Ne pas non plus aller lui coller l’étiquette ‘gars sérieux’, puisqu’il est loin d’être le premier de la classe et les révisions sont le dernier de ses soucis. Il a même tendance à un peu trop passer son temps sur son ordinateur, en bon jeune drogué d’Internet qu’il est comme la plupart de sa génération. Il assumera totalement qu’on le dise Geek par ailleurs, parce que oui il répond à la plupart des critères de la définition de ce mot.

Si il n’est pas un élève très rigoureux, il a tout de même le gout du travail bien fait et sera exaspéré s’il n’arrive pas à boucler quelque chose pour laquelle il est motivé. Ne pas croire non plus qu’il ne sait pas s’amuser ou serait un type tout à fait austère. Les gens qui le connaissent savent qu’il a de l’humour – peu parfois d’ailleurs frôler l’immaturité - qu’il est tout à fait possible de tenir une conversation avec lui et qu’il est loin d’être un associable fermé à toute discussion. Il suffit d’aller vers lui.

Bref, Blake est un garçon plutôt passif qui s’accommodé des choses sans être d’accord avec le système, il traverse la vie sans vraiment la vivre pleinement, ni vraiment réfléchir, se pose certes une multitude de questions mais a conscience de ne pas profiter pleinement de ce qui l’entoure. Il se fait engloutir par la banalité, et ne voit vraiment pas commet il pourrait s’en sortir de toute manière. Ces questions que le taraude, revenons d’ailleurs un temps sur elles. Blake n’est ni un grand pessimiste, ni un optimiste, mais il est de ceux qui s’interroge toujours sur tout. Le problème ? Il n’a jamais de réponses, ce qui l’angoisse profondément. Il sera alors du genre à se dire « n’y pense plus » avant que cela ne lui revienne en pleine tête, effet boomerang. Malgré cet air nonchalant qui lui est propre, il est un grand anxieux au fond et préfère fuir les soucis plutôt que de s’y confronter et de regarder la vérité en face. Mais enfin, il a conscience de tout ça, arrive même à rire, plutôt amèrement. Car Blake à a un certain sens de la dérision, aime d’ailleurs étudier les autres et leurs comportements, adore plaisanter sur les tristes habitudes qu’on peut prendre. Il se fait cependant à moitié peur en se rendant compte que sa manie d’observer les autres, dans les transports en commun, pour être mal vu ou mal comprise. Cependant ses intentions ne sont pas du tout mauvaises, non c’est un petit plaisir comme un autre que d’observer son prochain. Les petits plaisirs d’ailleurs, il connait et les cultive, une simple balade avec ses amis dans les rues de Bristol fera son bonheur, écouter pour la énième fois un de ces CD en se rendant compte qu'il a toujours le même plaisir à l'entendre le fera sourire. Vous l'aurez donc compris, amis, musique, sortie... Il n'est pas très compliqué.

“ DESCRIPTION PHYSIQUE.

Blake a une silhouette qu’on peut aisément repéré : Longiligne, jambe en fil de fer, une simple poigné mains semblerait pouvoir avoir raison de lui. On l’a souvent charrié sur ces critères au collège, il n’a jamais été un garçon dit viril, avec un corps de playboy bien dessiné. Rajouté à cela le fait qu’il est imberbe, et vous comprendrez pourquoi peut être il a souvent été surnommé « la fillette ». Physiquement cependant il n’a rien d’extraordinaire. Sa seule singularité viendrait peut être de ses yeux très fin, cadré constamment par une paire de lunettes. A part ça, il est tout à fait commun. Si il a longtemps porté des cheveux courts, ces derniers temps il opte pour les laisser un peu plus long, il juge que ça lui va plutôt bien, alors…

Niveau vestimentaire, rien d'original. Cantonné au simple chemise ou au pull de couleur unis, il n'a que deux paires de basket qu'il intervertis de temps à autres. Il porte des jean plutôt serré qui ne font que dessiner un peu plus clairement le fait que ses jambes ressemble à deux tiges de fer particulièrement maigre. Alors évidemment, ce look lui a couté d'autres remarques peu glorieuse... Et alors ?

“ HISTOIRE.

Vous vous apprêtez donc à lire l’histoire de Blake O’Hara. Si vous vous attendez à quelque chose d’exaltant ou de particulièrement intéressant, je ne saurais que trop vous conseiller de passer votre chemin. Faute de manques d’action dans la courte vie de ce jeune homme, nous tacherons donc d’être bref quoi qu’en développant tout de même un minimum certains points qu’on pourrait dire décisif dans son existence. Blake est né en hiver, on n’a jamais manqué de lui rappeler qu’il neigeait le jour de sa naissance et que son père n’a pu assister à l’heureux évènement puisqu’il était bloqué dans de monstrueux embouteillages. On n’oublie pas de lui rappeler non plus qu’on lui a donné ce prénom en hommage au cinéaste préféré de sa mère, Blake Edwards, mais que ses parents avaient longtemps hésité avec le prénom Lysandre, Piers, et même Marlon. Il trouve d’ailleurs qu’il porte très mal le dit fameux prénom Blake qui lui fut finalement attribué, mais n’a peu actuellement pas grand chose. Bref, à sa naissance on formule trois souhaits : il aura les yeux de sa mère, la force de son paternel, et il sera doué, évidemment ! Seul le premier sera réellement exaucé…

Il a toujours entretenu une certaine relation de respect avec ses parents, quant à sa sœur, il n’y eut jamais de concurrence entre eux, pas plus que d’amour fusionnel. Ils se sont toujours contente de jouer le rôle de « la grande sœur et du petit frère » comme distribué. Rien a signalé d’un point de vue scolaire, il n’est ni le premier de la classe ni le reclus à qui personne ne parle, il a quelque copains, se débrouille moyennement en classe. Les années passent.

Le collège, période ingrate, lui as réservé un lot de bonnes et de mauvaises surprises. Blake se font dans la masse, n’ayant aucunement conscience de l’image qu’il rend il ne fait pas vraiment attention à ce qu’il porte, ne cherche pas à se démarquer et n’en vois pas l’intérêt. Sa silhouette rachitique se traine de salles en salles, il dépasse d’une bonne tête tous les gens de son âge, il n’a pas un physique de rêve et est affublé en cours d’une paire de lunettes qui ne joue pas forcément en sa faveur. Bref, vous l’aurez compris il est quelquonque. Elève moyen, peu rigoureux, mais discipliné, « peu mieux faire », c’est ce qu’on peut lire sur tous ses bulletins à partir du collège.

Le premier véritable «évènement » aura lieu lors d’un petit bal ringard organisé par son collège pour Noël. C’était sa seconde année, il s’était demandé bien vite en voyant ses potes aller brancher les filles ce qu’il était venu faire là. Adossé dans un coin de la pièce en tapant machinalement le rythme de la musique avec son pied, son regard croisa celui d’un mec tout autant paumé que lui à première vue. Si il était aussi mal fringué, ils n’avaient physiquement rien à voir. Celui qui se révéla s’appeler Chris était un petit gars rond avec des grands yeux bleus, après quelques mots échanger et quelques vannes envoyé, ils comprirent bien vite qu’ils s’étaient plutôt bien trouvés.

Il faudra sauter quelques années avant de retomber sur quelque chose sous laquelle mettre la dent. Sachez cependant qu’à partir de ce jour, les deux garçons, même si ils n’étaient pas dans la même classe, continuèrent de se voir régulièrement, et encore aujourd’hui Chris demeure le meilleur ami de Blake. Le problème ? C’est que les deux se contentent de rester entre eux, ne cherche plus forcément à s’ouvrir aux autres sans pour autant rejeter toute autres compagnie, mais il est à se demander que ferait l’un sans l’autre tant ces deux la semble lié. Ce qui est pour certains, plutôt drôle et pour d’autres particulièrement agaçant.

Le second « évènement » qui le défini, et par ailleurs le dernier, est une passe dans sa vie qui l’a de toute évidence plutôt perturbé. Cela se résume en une simple anecdote aussi stupide puisse t’elle paraitre. Nous sommes en 2010, Blake à 15ans. Avec Chris, ils vont voir le premier film d’un cinéaste qu’on dit prometteur, selon le synopsis « Un garçon paumé qui hais sa mère ». Ca parle de l’adolescence, apparemment c’est plutôt bien traité, par curiosité ils y vont. Blake est loin de se douter qu’il ne sera plus tout à fait le même en sortant de cette séance. En se rendant compte que la scène entre deux homosexuels l’excite honteusement il se pose une question qui le poursuivra encore un long moment : Et si en fait j’étais gay ? La prise de conscience tombe de manière brutale. Blake serait incapable de vous dire la fin du film tant de questions angoissantes le taraude alors, il passe la dernière heure à s’auto infliger un constat inquiétant. Il est vrai qu’il n’a jamais eu de copine, a certes été déjà intéressé par des filles mais pas comme tous les autres garçons autour de lui qui ne semblent vivre que dans l’espoir de coucher ou toucher une paire de seins. Cela devient une obsession, il cherche tous les détails qui pourrait lui prouver qu’il s’est mentis à lui-même depuis tout ce temps, qu’effectivement il préfère les hommes mais l’idée est trop inconcevable, définitivement difficile à digérer et impossible pour lui à assumer. Pourtant elle est la et il comprend qu’elle restera dans son esprit tant que le problème ne sera pas résolu. Il ne peut en parler à personne, même pas à Chris. D’ailleurs même si il ne laisse rien transparaitre, il a honte d’imaginer des scenarios plus que tordu avec son meilleur ami, ne peut s’empêcher de penser constamment qu’il a envie de l’embrasser, et se maudit d’avoir ces idées dérangeante. Il est pourtant persuadé d’être victime d’une sorte d’obsession et que ça lui passera, que ce n’est qu’une phase, qu’il « se cherche ». Mais cette situation est plus qu’inconfortable et Blake n’est certainement pas à l’aise avec cette idée.

Et puis finalement… Il s’attache à une fille. Sans pouvoir d’empêcher de se dire qu’il se force en pensant que c’est une manière de s’auto persuadé de ne pas être homo, il se surprend à vraiment l’apprécier, même si ça ne semble pas forcément réciproque. Ca n’aboutira à rien, mais aura suffi à le rassurer un minimum quand à son orientation. Blake est alors en première année de lycée.

Il se passe une chose étrange cette année la… Quelques mois sans passé chez le coiffeur, un rendez-vous chez l’opticien ou il troque ses anciennes paires de lunettes contre des Ray-Ban, et soudainement on le trouve cool, à la mode, et les filles qui n’avaient jamais misé sur lui daignent comme par magie à s’intéresser à lui. Ou la démonstration même que ce monde est terriblement superficiel… Tout d’un coup, on le trouve « dans le vent » lui qui a toujours été un type transparent, au physique moyen, il semblerait qu’une simple paire de lunette ai la capacité ridicule de faire basculer sa réputation de mec sans intérêt à garçon qui, tiens, finalement à un petit quelque chose. Bref, il ne comprend pas vraiment, puisque si il retire ces fameuses ray ban il a toujours la tête d’un type moyennement séduisant. Le grand mystère des choses qui vous rendent séduisant sans qu’on sache pourquoi. Lui de toute manière trouve ça plutôt con, continue à trainer avec Chris n’est pas devenue vraiment plus mature en sa compagnie et continue d’avoir des délires que eux seuls peuvent comprendre.

Aujourd’hui il est en terminal, ne sait strictement pas ce qu’il va faire de sa vie, est toujours célibataire, a enterré ses doutes, et continue de se faire engloutir par une vie débordante de banalité.

“ QUESTIONS.

❶ Votre niveau scolaire ?
"Peu mieux faire", je marche en équilibre sur la moyenne.
❷ Votre attitude en cours ?
Pas forcément concentré.
❸ Avez vous des "modèles" ?
Un mec comme Mark Zuckenberg, plutôt sympa comme modèle.
❹ Votre position sur la politique de Victoria Midler ?
Contre, mais je m'adapte.
❺ Où vous-voyez vous dans 10 ans ?
Alors la...
❻ Réaction possible face au jeu ?
C'est sérieux ou c'est une plaisanterie ?

Derrière l'écran.

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“ JE SUIS.

❶ Pseudo/Prénom
Ana
❷ Âge & Sexe :
20 ans - Fille
❸ Ou avez vous connu le forum ? :
Administratrice
❹ Code ?
[OK]
❺ C'est votre dernier mot ?
Toutafé

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C'est une blague ? Cette chose peut-elle prétendre être dotée d'une paire de couilles comprimées dans ce pantalon de gonzesse ?