« Jessica Richardson »Admin
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|  Sujet: Jessica Richardson  Sam 17 Sep - 18:20 | |
| Jessica Richardson 
17 ans ㄨ 8 novembre 1995 ㄨ Freya Mavor ㄨ Célibataire ㄨ hétérosexuelle“ DESCRIPTION MENTALE. Derrière les airs de femme qu’elle se donne, Jessica est une jeune fille qui se cherche.
Depuis le divorce de ses parents, l’adolescente ne semble plus être la même mais en réalité, elle n’a pas beaucoup changé. En dehors de son attitude de peste, Jessica est toujours la jeune fille sympathique qu’on lui connaissait. Elle peut même s’avérer être très agréable si on se donne la peine de voir au-delà des apparences.
Seulement voilà, il est difficile de vouloir chercher à la connaitre. Jessica est antipathique au possible et se montre assez méprisante avec son entourage, prenant volontiers les autres de haut. Cette attitude est assez insupportable et inspire tout sauf de la sympathie pour sa personne. Elle en devient même vite lourde, si bien qu’on n’a plus du tout envie d’avoir affaire à cette fille qui enverra chier n’importe qui de toute façon. Car en plus de cela, Jessica est élitiste et ne parle qu’aux personnes qu’elle juge dignes d’intérêt. Et elles sont rares : à part si vous êtes un beau garçon ou une fille branchée, il semble absolument impossible de s’attirer ses faveurs. En général, elle s’adresse à ceux qu’elle considère comme futiles uniquement lorsqu’elle a besoin d’eux pour quelque chose, comme pour ses devoirs ou pour lui rendre un service sans pour autant dire merci sauf lorsque cela l’arrange. Jessica est une bonne comédienne et sait feindre l’intérêt et la compassion au gré de ses envies. En général, et ce en dépit de sa réputation de connasse, elle parvient à ses fins en bonne manipulatrice qu’elle est. Cela dit, Jessica ne pense pas mal agir lorsqu’elle se sert des autres comme de vulgaires sbires : elle pense avant tout à son intérêt personnel qui l’aveugle tellement qu’elle ne voit pas ce qu’on pourrait bien lui reprocher.
Il n’est pas difficile d’imaginer qu’avec une telle personnalité, Jessica est de surcroit une fille égocentrique et orgueilleuse. Elle est en effet très portée sur sa petite personne et comme dirait l’autre, elle ne pense qu’à sa gueule. Dans sa tête, écraser les autres pour réussir ne lui parait pas être quelque chose de mal et elle pense avoir toutes les raisons de se sentir supérieure à ses camarades. Jessica tâche de paraître aussi sûre d’elle que possible afin d’intimider ceux qui l’entourent et leur faire comprendre qu’elle n’a pas besoin d’eux, quitte à passer pour une salope en rabaissant certaines personnes lorsque la situation l’exige.
En réalité, derrière cette confiance en soi qui semble être à toute épreuve, Jessica doute énormément d’elle-même. Elle aime donner l’impression de contrôler tous les aspects de sa vie alors que ce n’est pas le cas et qu’elle en subit la pluppart, et le fait qu’on lui apporte une quelconque attention la rassure étant donné qu’elle est constamment reléguée au second plan par sa mère et qu’elle a perdu tout contact avec son père. Voyant qu’elle est douée pour se faire remarquer, Jessica fait tout pour que les regards soient constamment braqués sur elle, désireuse de reconnaissance. Le domaine dans lequel elle est le plus douée étant la mesquinerie, elle a donc décidé d’y exceller.
Mais cette attitude de petite peste n’est qu’une façon pour elle de se protéger d’éventuels chagrins liés à des déceptions comme elle en a connu avec ses parents, par qui elle se sent abandonnée. Ce n’est certes pas la meilleure des façons de lutter contre sa solitude puisqu’en agissant ainsi elle se ferme totalement aux autres, mais c’est en tout cas la seule qu’elle a trouvé pour y parvenir. Son comportement l’éloigne de ses camarades et le moins que l’on puisse dire, c’est que Jessica n’a pas beaucoup d’amis. Tenant à être aussi populaire que possible, elle sait qui fréquenter mais ces relations sont assez illusoires et ne suffisent pas à satisfaire la jeune fille qui se sent incomplète. Cependant, étant une personne très fière, elle refusera toujours de l’admettre et niera en bloc l’évidence même : elle n’est qu’une pauvre fille qui essaye de se persuader qu’elle a une belle vie, des amies, des petits copains alors qu’elle n’a rien de tout ça, que les peu de relations amicales qu’elle entretient avec d’autres filles sont tout à fait superficielles et qu’en plus, elle ne vaut rien.
Car Jessica doute vraiment d’elle-même et de ses valeurs. Elle a d’ailleurs l’impression d’en être totalement dénuée et pourtant, elle ne fait rien pour prouver le contraire. Elle est agacée par les reproches qu’on lui fait sur son égoïsme, sa méchanceté et sa froideur mais la jeune fille ne parvient pas à s’améliorer en tant que personne et ne comprend pas pourquoi elle devrait changer. Elle est en effet profondément découragée par le peu de considération qu’on veut bien lui accorder comme si elle était une moins que rien. Malgré une bonne volonté, elle continue de tout faire de travers et s’enlise dans sa propre bêtise et alors qu’elle aimerait leur prouver qu’ils ont tort, ses actes leur donnent indéniablement raison. Jessica finit par être convaincue qu’elle ne vaut pas grand-chose et qu’elle ne peut être appréciée pour autre chose que pour ce que la nature lui a donné, c’est pourquoi elle accorde autant d’importance à son physique qu’elle considère comme son seul atout. Elle est capable de s’empêcher de manger au moindre kilo pris, à la recherche d’une perfection qu’elle se juge encore loin d’atteindre.
Quel gâchis, lorsqu’on sait que Jessica est une fille terriblement attachante mais vulnérable, dotée d’une sympathie naturelle parfaitement insoupçonnée. Elle s’avère être une très bonne amie qui, si elle n’est pas douée pour donner des conseils, sait écouter et adore papoter. De plus, contrairement à ce que l’on voudrait bien imaginer sur son compte, elle est loin d’être aussi bête que la blondeur de ses cheveux ne veut bien le laisser croire. Elle est même une assez bonne élève qui obtient toujours des notes satisfaisantes.
Au fond, tout ce que Jessica demande est un peu d’attention et son côté fleur bleue la pousse à attendre la personne idéale à qui elle pourrait se dévoiler, qu’il s’agisse d’amour ou d’amitié, et qui saurait la comprendre. En attendant de la trouver, elle se complait dans un dédain qui semble adressé au reste du monde.
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“ DESCRIPTION PHYSIQUE. Orgueilleuse comme elle l’est, Jessica est bien évidemment très fière de son physique qu’elle considère comme son meilleur atout.
Elle est pourtant une fille assez banale. Elle est tout juste jolie et si elle ne peut pas prétendre au titre de reine de beauté, on peut volontiers lui accorder le fait qu’elle est mignonne. De taille moyenne, elle est constamment de perchée sur des talons qui la font décoller de son petit mètre soixante-six et qui lui donnent une certaine ampleur, ainsi que l’impression de dominer les autres qu’elle se plait à toiser, comme pour affirmer sa supériorité. L’adolescente est techniquement irréprochable : ses cinquante kilos sont parfaitement répartis le long de son corps, résultat d’un régime très strict auquel elle ne fait jamais entorse et qui, bien qu’il soit draconien, s’avère payant. Ses nombreuses heures de pratique de danse classique l’aident également à maintenir un poids qu’elle juge convenable, même si étant sa juge la plus sévère elle se trouve toutes les malformations du monde face à son miroir. Objectivement, il est assez proportionnel à sa taille et Jessica en est d’autant plus séduisante qu’elle n’est ni squelettique ni ronde. S’imposant une rigueur en suivant ses cours de danse, elle écope également d’une endurance dont elle ne fait pas vraiment preuve en sport, sa matière la plus désastreuse et de loin. Il est donc surprenant de découvrir le long de son ventre des abdos discrets mais bel et bien formés qui ne nuisent pas à sa féminité. Dans l’ensemble cependant, son corps manque de fermeté et de muscle.
Jessica a un visage plutôt joli. Il est en tout cas difficile de dire qu’elle est réellement laide mais en éternelle complexée qu’elle est, elle trouvera toujours quelque chose qui ne va pas. Qu’il s’agisse de ses yeux qui lui font se demander si elle n’a pas un léger strabisme ou les taches de rousseur parsemées sur son visage, l’adolescente n’est jamais réellement satisfaite d’elle-même. Elle n’a pourtant pas de quoi se plaindre : ses jolis yeux bleus surmontés par des sourcils prononcés et ses taches de rousseur lui donnent un petit côté mignon qu’elle n’envisage pas forcément. Les traits fin de Jessica jouent en sa faveur : elle a le nez droit et des lèvres pulpeuses juste comme il faut. Dans sa recherche de la perfection, Jessica se juge bourrée de défauts alors qu’avec un peu de recul elle est capable de se trouver belle.
Ses cheveux blonds accentuent son air de garce, étant donné qu’ils lui font répondre au cliché de la peste blonde du lycée. Qu’ils soient ondulés ou lisses, Jessica y accorde une importance toute particulière et ne supporte pas qu’on la décoiffe, faisant une fixation sur sa longue chevelure qui lui tombe dans le dos.
Ses tenues n’arrangent pas vraiment les choses. Sans exagérer, Jessica ne porte jamais de pantalon. Constamment des jupes, et rien que ça. Ou bien des shorts, courts. Les seules circonstances qui la poussent à enfiler un pantalon sont les froids hivernaux, lorsqu’elle n’a vraiment plus le choix de couvrir ses jambes. Quant au haut, les débardeurs sont de mise chez elle. Elle a des tonnes dans son armoire, mais il n’est pas impossible de la voir porter un gilet. En règle générale, elle aime se donner des airs de femme en s’habillant comme telle.
Jessica arbore souvent des accessoires tels que des boucles d’oreilles (elle affectionne tout particulièrement les créoles) ou des bracelets. Lorsqu’elle n’est pas de bonne humeur, elle se cache les yeux derrière des lunettes de soleil, ce qui lui donne un air ridicule de petite starlette dont elle se fiche bien. Quant au maquillage, contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, elle n’en est pas une inconditionnelle. Et pourtant, son teint blanc qu’elle exècre et ses taches de rousseur qui la complexent pourraient la pousser à en abuser. Il est vrai que par moment, elle donne l’impression d’être orange tant elle s’en tartine le visage mais cette occasion reste rare, la raison de cet abus étant en général un bouton. Cela dit, ayant une peau peu sujette à ce genre de problèmes, il reste exceptionnel de la voir se présenter en cours avec un teint de canard laqué. Cela dit, le peu de fois où elle a le malheur de s’afficher ainsi, elle a droit à bon nombre de moqueries et de messes-basses sur son passage.
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“ HISTOIRE. L’histoire de Jessica est loin d’être passionnante. Elle se divise en deux parties : la première s’arrête à ses treize ans, âge auquel elle assista au divorce de ses parents.
On a beau considérer cela comme normal aujourd’hui, l’adolescente l’a très mal vécu et en fut même traumatisée. Son entourage a tendance à lui reprocher d’exagérer les choses, de tout dramatiser. Peut-être que c’est le cas, mais on ne peut nier l’influence de cet évènement dans le comportement de Jessica.
Depuis sa naissance, ses parents ont su sauver les apparences pour le bien de leur fille. Jessica a eu l’impression de grandir dans une famille aimante. En tant que fille unique, elle recevait tout l’amour de ses parents, et surtout de son père à qui elle vouait un véritable culte. Comme de nombreuses petite fille, n’est-ce pas ? Mais Jessica n’a jamais cessé d’aimer son père, constamment collée à lui. Celui-ci la faisait se sentir comme une petite princesse mais savait se modérer pour ne pas la pourrir et en faire une enfant gâtée. Pourtant, sa nature capricieuse était difficile à réprimander et seul son père savait comment s’y prendre.
Si elle aimait également sa mère, Jessica n’a jamais entretenu de liens aussi étroits avec elle, cette femme étant un vrai bourreau de travail. Agent immobilière qualifiée, elle consacrait le plus clair de son temps à son métier, gagnant un salaire bien plus important que celui de son informaticien de mari. Malgré tous les efforts qu’ils déployèrent afin de sauver leur couple, ses parents durent se rendre à l’évidence qu’ils ne s’aimaient plus. Jessica assistait impuissante à leur éloignement et si elle pouvait désormais avoir son père à elle toute seule, elle ne supportait pas l’attitude distante que leur imposait sa mère. D’ailleurs, elle n’avait jamais compris pourquoi sa mère avait réclamé sa garde alors qu’elles n’étaient pas si proches que ça. Dans tous les cas, son père l’abandonna et devint un étranger pour elle, alors qu’il lui avait promis de garder contact avec elle aussi souvent que possible. Elle était alors âgée de treize ans.
Elle avait toujours été une petite fille adorable qui semblait être une enfant modèle : elle était intelligente, polie et très appréciée de ses camarades. Aujourd’hui, il est difficile de la reconnaitre.
Si elle a toujours maintenu son niveau scolaire et qu’elle reste une bonne élève, l’attitude de Jessica a sensiblement changé. Elle n’est plus la gentille petite fille que tout le monde connaissait et du jour au lendemain, elle s’est transformée en peste incroyablement antipathique et superficielle. Méprisante au possible, Jessica montre clairement qu’elle se fiche des autres et qu’elle se sent supérieure à eux, la mesquinerie étant la seule façon qu’elle a trouvée de cacher sa faiblesse.
Elle ne voit plus beaucoup son père depuis, celui-ci ayant refait sa vie avec une nouvelle femme et de nouveaux enfants, et lorsqu’ils se donnent rendez-vous elle fait tout son possible pour l’annuler ou tout simplement donner l’impression que cela ne compte plus à ses yeux. Quant à sa mère, il faut croire qu’elle s’est vite remise de leur séparation puisqu’il lui suffit d’un an pour retrouver un homme. Jessica méprise cet homme qui a remplacé son père et sur qui sa mère n’aurait même pas posé le regard à l’époque. Elle ignore son métier, mais ses revenus sont séduisants. En tant que beau-père, il ne comprend pas que sa belle-fille se montre si froide à son égard. C’est pourquoi il pense pouvoir l’acheter avec des cadeaux, ce dont elle profite bien entendu autant que possible sans pour autant lui accorder une once d’affection. Ses liens avec sa mère se sont depuis effrités et Jessica la tient pour principale responsable du départ de son père. Malgré tout, elle reste une petite fille qui fait n’importe quoi pour attirer l’attention de sa mère.
Le fait de rester chez elle en compagnie d’un couple qui semble passer en priorité lui étant insupportable, Jessica s’est tournée vers une activité qui lui permet de s’évader et de décompresser, lui demandant également beaucoup de travail : la danse classique. Son rêve, c’est de devenir professeur de ballet et l’adolescente s’investit beaucoup dans ces cours auxquels elle assiste, faisant partie des meilleures danseuses de sa classe. Trouver une discipline dans laquelle elle était douée et pour laquelle on l’encourage sut l’adoucir et la rendre plus confiante, lui faisant réaliser que la façon dont elle agit avec les autres n’est peut-être pas la meilleure.
Le voyage de fin d’année lui semble être une occasion de s’éloigner du domicile familial un petit temps histoire de faire le vide dans sa tête.
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“ QUESTIONS. ❶ Votre niveau scolaire ?
Satisfaisant ! 14 de moyenne, c'est assez parlant non ? Seul le sport lui fait défaut, l'adolescente étant douillette.
❷ Votre attitude en cours ?
J'écoute. Je suis mais je bavarde aussi un peu.
❸ Avez vous des "modèles" ?
Toutes les jolies filles qui savent allier classe, intelligence et qui ont un contrôle absolu sur leurs vies.
❹ Votre position sur la politique de Victoria Midler ?
Pas de politique pour moi, s'il-vous-plait...
❺ Où vous voyez-vous dans 10 ans ?
Dans une classe de ballet entourée de jeunes élèves
❻ Réaction possible face au jeu ?
Terrifiée, elle n'ira sûrement pas bien loin. Tuer lui paraissant invraisemblable, Jessica cherchera probablement à fuir tout le monde en espérant qu'on vienne les sauver.
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