Veronica Finn

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Veronica Finn

17 ans ㄨ 16 août 1995 ㄨ Evan Rachel Wood ㄨ célibataire ㄨ hétérosexuelle

“ DESCRIPTION MENTALE.

Il est difficile de déterminer si Veronica est une gentille ou une mauvaise fille. L’adolescente aime jouer sur l’ambiguïté des figures féminines que représentent « la vierge et la putain » telles qu’elle les désigne et avec lesquelles son imaginaire s’est développé. Disons qu’il y a une part de vérité dans chacun des deux aspects qui participent à cette dualité.

Veronica a beau se donner des airs singuliers, elle n’est qu’une adolescente de dix-sept ans. S’il est vrai qu’elle n’est pas tout à fait comme ses camarades, elle n’en reste pas moins une jeune fille qui aime s’adonner à ses petits plaisirs et qui exècre les devoirs autant que d’avoir à participer aux tâches ménagères qui lui sont imposées en tant que première fille de la fratrie Finn. C’est d’ailleurs un rôle pesant qu’elle endosse, se voyant comme une véritable Cendrillon des temps modernes. Cela dit, la princesse de Disney n’a sûrement pas un tempérament semblable à celui de Veronica.
En effet, Veronica n’est pas du genre à subir en silence. Au contraire, elle n’hésite pas à s’exprimer et têtue qu’elle est, aime avoir le dernier mot. Elle ne cesse de contester l’autorité de sa belle-mère qu’elle considère comme une usurpatrice qui lui aurait volé sa place à elle et sa défunte mère. Depuis son plus jeune âge, l’adolescente a une grande gueule et l’ouvre quand il le faut, faisant preuve de beaucoup de culot mais aussi de cran car – par fierté – elle ne se rabaissera jamais face à quelqu’un de menaçant. Dotée d’une confiance en elle inébranlable, Nikki est un peu une tête brûlée qui n’a pas peur de prendre des coups. Tout dans l’affront dont elle fait preuve relève d’un côté garçon manqué qu’elle ne cherche pas à nier et qui lui donne un certain charme.
Veronica n’en est pas moins dénuée de féminité, et c’est cela qui la rend séduisante. Elle semble réunir tous les avantages du meilleur pote et les attributs requis de la parfaite petite copine. Autant dire qu’elle représente en effet la fille dont pas mal de mecs rêveraient : elle n’est pas prise de tête et ne se soucie pas elle-même des préoccupations propres aux filles de son âge tel que le shopping, habituée dès son plus jeune âge à en être privée. Sa famille est trop nombreuse et ses parents trop stricts pour la laisser dépenser son argent dans n’importe quoi. D’ailleurs, Veronica a le sens de la rigueur et si elle aime s’amuser, elle n’en est pas moins une élève studieuse qui compte parmi les plus intelligentes de l’établissement. Car l’adolescente a vite compris que pour réussir, il fallait s’en donner les moyens. Dans l’immédiat, elle se réjouit de la somme que son père lui donne en argent de poche, qui est plus élevée que celle de ses frères et sœurs moins bons qu’elle, mais on peut aisément imaginer l’ambition qui la dévore et qui pourrait lui être très utile dans sa vie professionnelle.

Motivée par un désir de réussite, Veronica souhaite être la première dans tout ce qu’elle entreprend. Que ce soit en classe ou en danse jusque dans ses relations, elle est une très mauvaise perdante même si elle s’applique à le cacher pour ne pas avoir l’air envieuse. Cette envie de toujours trôner sur la plus haute place du podium se manifeste également dans son rapport aux autres. Lorsqu’elle sait qu’elle compte pour quelqu’un, Veronica est aveuglée par l’amour qu’on lui porte et veut l’accentuer, le décupler au point d’être la seule personne à compter aux yeux de l’autre. Pour cela, elle use de tous les moyens imaginables, notamment la comédie. Menteuse hors-pair, elle pleure sur commandes et compte plusieurs cordes à son arc, une palette très large de sentiments qu’elle est capable de feindre à la perfection. Elle ne peut le nier : elle est vicieuse, manipulatrice et calculatrice. C’est mal, n’est-ce pas ? Mais c’est dans sa nature. Elle n’y voit rien de mal et de toute façon, elle ne cherche à blesser personne. D’ailleurs, elle ne blesse personne. Tout ce qu’elle souhaite, c’est réussir et servir son propre intérêt et pour y parvenir, elle est prête à déployer beaucoup de moyens, son principal atout étant son sex-appeal. Veronica dégage en effet une sensualité indéniable et use beaucoup de son charme quotidiennement, la séduction étant devenue pour elle comme un réflexe : elle cherche à charmer son auditoire. Son arme la plus redoutable est son charisme impressionnant pour une jeune fille de dix-sept ans seulement. Elle dégage effectivement quelque chose d’extrêmement mature.

Pour cause : Veronica aime s’instruire et prend plaisir à se cultiver, pensant qu’elle s’améliore en tant que personne. Elle tend donc à se lier d’amitié avec les personnes qu’elle juge apte à la pousser à s’améliorer et à relever des défis, ce qui l’excite. Ne reculant pas face aux difficultés, elle n’en est pas moins consciencieuse et réfléchie, et si elle aime prendre des risques, elle considère toujours les conséquences de ses choix. Ainsi, elle évite les situations fâcheuses sauf lorsqu’elle est sûre d’en sortir gagnante. C’est la raison pour laquelle elle exècre la cigarette et la drogue, ne voyant rien de bon dans ces trucs plus néfastes qu’autre chose.

Dans tous ses choix, y compris relationnels, Veronica tâche de tirer le meilleur. Cependant, elle ne se ferme pas à tout le monde et parait aux yeux des autres comme une jeune fille assez accessible en dépit de son détachement et de sa fierté qui la font sembler plus mature qu’une adolescente lambda.

“ DESCRIPTION PHYSIQUE.

Loin des clichés de la blonde plantureuse, Veronica est une adolescente de dix-sept ans plutôt banale en somme. Si la nature ne lui a pas donné d’attribut qui la mette plus en avant que ses camarades, elle n’en dégage pas moins une sensualité déconcertante pour une jeune fille de son âge.
En effet, Veronica ne paye pas forcément de mine : elle n’a rien de particulièrement remarquable, du moins pas assez pour la différencier des filles de sa classe. Au contraire, elle semble plutôt quelconque. De taille moyenne, un poids conséquent, elle ne semble pas en mesure de faire de l’ombre à certaines élèves que l’on pourrait penser capables de l’éclipser. On pourrait même lui reprocher un menton imposant, pour les plus pointilleux. Et pourtant, elle se fait souvent bien plus remarquer que certaines d’entre elles.
Cependant, l’adolescente ne s’en sort pas mal non plus : sa silhouette longiligne et athlétique est l’aboutissement de cours de danse classique réguliers durant lesquels elle se donne corps et âme. Si Veronica donne l’impression d’être une jeune fille frêle et faible, il n’en est rien : cette pratique intensive l’a faite gagner en muscles ainsi qu’en endurance et en force. Sur ce point, elle se démarque de certaines de ses camarades. La faiblesse lui paraissant être quelque chose de méprisable, Veronica affiche son physique élancé et dynamique avec fierté. Cependant, la jeune fille est plus faite de muscle que de graisse : elle a une petite poitrine – qu’elle juge très commode – et des fesses à peine rebondies. Sa maigreur se voit heureusement compensée par cette musculature acquise à la danse, sans laquelle elle aurait l’air d’un squelette.

Quant à son visage, il évoque au premier abord celui d’une enfant : ses yeux d’un bleu vif inspirent la candeur d’une petite fille, ainsi que ses traits fins et ses sourcils tout aussi finement épilés qui renforcent cette impression. Il est donc surprenant, une fois qu’on la connait, d’y discerner une lueur de lascivité, presque d’obscénité qui lui donne un air tout à fait vulgaire et aguicheur. Pourtant, elle a les yeux de son père et il paraissait impossible de voir apparaitre dans son regard une once de vulgarité. De même, son sourire qui peut autant lui donner une allure innocente peut également être interprété autrement. Capable de faire penser à celui d’une enfant malicieuse, il se confond avec celui plus vil d’une sorcière. Hérité de sa mère, il ne donne pas tant sur elle l’air angélique qu’il attribuait jadis à celle dont elle en a hérité. Son nez droit légèrement retroussé et arrondi en son bout semble en accord avec les traits de son visage. Elle affiche de temps en temps un piercing à la narine droite, mais il est rare de la voir l’arborer. En règle générale, elle ne se maquille pas mais lorsqu’elle sort ses cosmétiques, elle sait justement doser afin de ne pas ressembler à un pot de peinture, favorisant le naturel de sa peau douce, la jeune fille n’ayant jamais eu de problèmes d’acné.
Ses cheveux naturellement blonds ont retrouvé leur couleur d’origine mais à une période de l’année, Veronica a opté pour le roux. Cette teinture lui allait plutôt bien, mais du jour au lendemain la jeune fille a décidé de revenir à son blond naturel, de façon aussi inattendue que lorsqu’elle avait décidé de les décolorer.
Son style vestimentaire n’est pas particulièrement aguicheur mais il séduit par son originalité : Veronica porte très bien les vieilles fringues vintage, et les tenues plus classiques et sobres lui donnent une certaine élégance. La simplicité d’un jean lui va également comme un gant. Il lui arrive de porter des vêtements amples comme des tenues qui s’ajustent à ses formes et lui collent au corps. Elle se plait à porter divers accessoires tels que des bracelets en abondance ou toutes autres fioritures pouvant rappeler les années 80, qu’elle considère comme une référence en matière de goût. Son style est également influencé par la mode hippie. Malgré cette simplicité, elle peut également se montrer plus portée vers la séduction en portant des tenues plus courtes et provocantes, selon ses humeurs. Elle change de peau comme de tenue et incarne différents personnages au gré de ses envies.

“ HISTOIRE.

Veronica est la troisième enfant de la famille Finn qui en compte six, et la première fille du couple.
Ce nombre a tendance à choquer certains paroissiens. En effet, la ferveur des Finn n’aurait jamais laissé sous-entendre qu’ils puissent avoir conçu autant de progénitures. Cela leur a valu quelques commentaires, nuancés entre la moquerie et le reproche selon ceux qui les faisaient. Mais les Finn n’ont jamais remis en doute leur foi et se sont toujours montrés fiers de compter autant d’enfants dans leur famille.
Veronica étant leur première fille, et ce en dépit de l’amour qu’ils éprouvaient pour leurs deux fils et ceux qui suivirent, elle a toujours tenu une place toute particulière au sein du foyer. Sa mère, tellement comblée d’avoir donné naissance à une fille, lui donna son nom. Lorsqu’elle grandit, Veronica se vit attribuer le surnom de Nikki afin de la différencier de sa mère. Ses deux grands frères, plutôt que de la protéger, prenaient un malin plaisir à la persécuter, mais Veronica trouvait toujours refuge dans les bras de son père. Secrètement, elle était sa préférée. Cela éveilla chez ses ainés un vif sentiment de jalousie ainsi que de rivalité. La guerre était engagée, et Veronica était bien décidée à gagner.

Les années passèrent et Veronica découvrit la religion à travers le catholicisme. Elle a toujours été fascinée par cette croyante qui unit tant de personnes à travers le monde et dont l’ambiance était omniprésente chez elle, mais s’est toujours refusé à se plier à ces principes. Ils lui semblaient trop stricts voire sectaires, et elle ne comprenait pas comment il était possible de profiter de la vie en s’y soumettant. Elle constatait pourtant que ses parents étaient heureux, mais cette image du couple épanoui qu’ils formaient ne suffit pas à la convaincre. Cependant, son éducation religieuse la poussa à croire en l’existence de Dieu, à qui elle lançait constamment des défis pour le moins originaux, tels que regarder sous les longues robes des bonnes sœurs et lorsqu’elle fut plus âgée, aller nue à l’église vêtue simplement d’un long manteau.
Plus que le pouvoir religieux, Veronica a vite compris qu’en tant que fille, son principal atout était la séduction. Cultivée au cinéma de Marilyn Monroe, elle en a très vite assimilé les codes au grand dam de son père et de sa nourrice qui n’étaient pas tout à fait ravis de voir la petite prendre exemple sur une blonde pulpeuse. Et pourtant, ce sont les grandes figures du cinéma telles que Marlene Dietrich et Elizabeth Taylor en passant par Brigitte Bardot qui l'inspirent, ses influences étant des femmes de pouvoir qui usent de leur sex-appeal pour charmer les hommes. En matière de musique, elle s’oriente également vers des figures féminines qui l’inspirent telles que Blondie. Encore une fois, ces exemples ne plaisent pas à ses parents qui ne savent pas exactement comment la contrôler. Ces modèles lui firent comprendre dès son plus jeune âge qu’elle détenait un atout majeur contrairement à ses frères : des charmes féminins non négligeables qui pouvaient faire peser la balance auprès de son père. Elle pouvait user de la séduction en tant que fille.
Cette ambiguïté entre la religion et le sexe date de son enfance : lorsque sa grand-mère lui a fait promettre de ne pas sortir avec des garçons, l’interdit a immédiatement séduit Veronica pourtant éduquée par des valeurs conservatrices. Dès lors, elle eut deux images de la femme : la vierge et la putain. Les deux la fascinaient. De plus, le fait d’avoir grandi sans figure maternelle ne l’incita pas à suivre le schéma classique d’une femme Finn, à savoir réussir des études brillantes, se marier et devenir mère.

L’évènement le plus marquant de sa vie survint lors de ses cinq ans, lorsque sa mère mourut d’un cancer du sein, qu’on lui avait diagnostiqué plus tôt dans l’année. Cette dernière tâcha de le cacher tant bien que mal à ses enfants, qui assistèrent impuissants à l’affaiblissement progressif de leur mère. Veronica ne comprit pas immédiatement ce qui se passait et aimait pousser sa mère à bout pour tester ses limites, se sentant plus forte qu’elle et réalisant peu à peu que quelque chose n’allait pas. Finalement, elle resta inconsolable lorsqu’on lui apprit que sa maman était partie, allant jusqu’à en vouloir à son père de continuer à aller au travail compte tenu des circonstances. À partir de ce moment, sa grand-mère maternelle prit en charge ses petits-enfants afin d'aider son gendre à les élever, la plupart d'entre eux étant encore en bas-âge à l'époque.

Le fait d’avoir cinq frères et sœurs et celui de n’avoir plus que son père pour seul parent poussa Veronica à sortir du lot et à se démarquer totalement des autres. Elle avait hérité du physique de sa mère et lui ressemblait comme deux gouttes d’eau, et portait également son nom : l’amour de son père qui déjà lui portait une affection toute particulière se renforça suite au décès de sa femme, qu’il voyait au travers de sa fille. Ce ne fut donc pas une tâche trop difficile que de s’attirer les faveurs du chef de famille, au détriment des autres enfants. Elle était la seule à se permettre d’aller dormir dans son lit le soir et obtenait en général une place sur ses genoux sans problème.
Les choses se corsèrent à ses huit ans, au moment où après avoir engagé une nourrice pour déjà plus d’un an, son père en tomba amoureux et décida de se marier avec elle. Non seulement Veronica ne l’aimait pas beaucoup et ne cessait de braver son autorité, mais en plus cette femme remplaçait sa mère et lui volait sa place en tant que femme la plus importante pour le foyer et dans le cœur de son père. La jeune Nikki se sentit trahie, humiliée. Depuis, elle entretient une certaine rancœur envers celle qu’elle considère comme une marâtre qui en toute objectivité s’avère être une belle-mère qui remplit parfaitement son rôle.

Voyant que face à l’invasion elle se trouve impuissante, Veronica décide en grandissant de se tourner de plus en plus vers l’inconnu, l’interdit. À l’exception de ses deux frères aînés qui sont des petites frappes, elle est l’enfant Finn la plus perturbatrice : elle n’a de cesse de contester les règles et refuse catégoriquement de s’y plier, malgré une éducation pour le moins stricte, et se plait à repousser les limites… Sa belle-mère ayant par exemple développé une tendance à habiller les trois sœurs de la même façon, Veronica trouvait toujours un moyen de détourner ce conformisme en levant sa jupe plus haut que celles des deux autres.
Veronica fit l’expérience de l’école catholique privée jusqu’à ses dix ans. Elle reprit sa scolarité à ce même âge dans le public, disant adieu aux bonnes-sœurs qui lui mettaient du scotch sur la bouche lorsqu’elle bavardait en classe, c’est-à-dire à peu près chaque jour. Ainsi, elle pouvait rencontrer des élèves différents d’elle, qui n’avaient pas nécessairement avec elle la religion comme point commun. Cela lui permit de s’ouvrir également à d’autres types de relations, telles que celles entre les filles et les garçons. Elle mit alors en application tout ce qu’elle avait appris pour séduire autant de garçons possibles, toujours en obtenant d’excellentes notes afin de choquer et de ravir en même temps son père.

Elle continua d’appliquer ce double cursus lorsqu’elle entra dans l’adolescence, allant toujours plus loin dans la provocation et ramenant toujours de meilleures notes. Cette attitude déconcertait non seulement ses parents mais également ses camarades, qui la considéraient à la fois comme une salope mais également comme une élève brillante, ce qui était impossible à nier.
Finalement, c’est à quinze ans qu’arriva le jour fatidique : elle perdit sa virginité à l’arrière d’une voiture avec un ancien petit copain. Elle considéra d’ailleurs cet acte comme « un choix de carrière » puisqu’il s’agissait en premier lieu d’acquérir de l’expérience, malgré son romantisme, plutôt que de concrétiser une quelconque idylle. L’expérience, pas franchement désagréable ne fut cependant pas réellement concluante. Elle écope cependant d’une réputation désastreuse dont elle n’a jamais essayé de se défendre, se fichant bien d’être considérée comme une salope ou non. Consciente de ne coucher qu’avec un petit copain attitré, elle ne se donne pas la peine de nier ces rumeurs, ou de les confirmer.

Sa vie prit un tournant important l’année suivante. Veronica s’inscrit à des cours de danse classique, avec pour professeur un homme mature particulièrement exigeant avec ses élèves. Ces deux-là semblaient faits pour se rencontrer tant l’alchimie qui les unit leur parut évidente lorsqu’ils se sont vus pour la première fois. Cette discipline enseigna un peu plus à Veronica des valeurs de ténacité et de volonté, déjà bien ancrées dans son esprit par son éducation. Elle développa alors plus d’endurance et de force qu’auparavant, et devint rapidement au prix de longues heures de pratique une des meilleures élèves du cours, ambitionnant de trôner sur la première place du podium.

Le voyage de fin d’année n’enchantait guère Veronica mais dépassée par les tâches ménagères qu’on lui impose et par son rôle improvisé de baby-sitter en tant qu’ainée féminine de la fratrie qui comptait désormais deux demi-frère et sœur, élevant les Finn au rang de huit enfants, l’adolescente finit par accepter afin de s’accorder une pause bien méritée.

“ QUESTIONS.

❶ Votre niveau scolaire ?
Ma moyenne tourne autour des 17 plus quelques demi-points... Pas mal hein ?
❷ Votre attitude en cours ?
Plutôt attentive.
❸ Avez vous des "modèles" ?
Des femmes telles que Debbie Harris et Marilyn Monroe, des icônes. Et mon prof de danse.
❹ Votre position sur la politique de Victoria Midler ?
Un peu extrémiste non ?
❺ Où vous-voyez vous dans 10 ans ?
Je m'imagine comme étant quelqu'un d'important, du moins c'est ce que j'aimerais.
❻ Réaction possible face au jeu ?
Ce ne sera pas une partie de plaisir mais motivée par le désir de survivre, Veronica n'hésitera pas à tenter sa chance en essayant de tuer tous ceux qu'elle rencontrera.

Derrière l'écran.

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“ JE SUIS.

❶ Pseudo/Prénom
Belka
❷ Âge & Sexe :
17/M
❸ Où avez-vous connu le forum ? :
DC de Jess' donc admin Wink

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